EXPOSE
de Jean
Pierre VOLTZENLOGEL
Interlocuteur
TICE-EPS de l'académie de
LA REUNION
Projet
vidéo de présentation de l’EPS en lycée
à l’attention des élèves de seconde
L’objet de cette intervention est la présentation :
Remarque:
Un certain nombre de travaux préparatoires ont été
réalisés autour de ce projet, mais |
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I. TOUR D’HORIZON DES
CONDITIONS INITIALES ET DES MOTIVATIONS
De ce premier constat est née l’idée d’une présentation utilisant les TICE.
De manière concommitante, l’auto formation (pratiquée déjà en d’autres circonstances ! ) aux techniques nécessaires à la réalisation du projet, de même que l’achat du matériel nécessaire a débuté presqu’immédiatement (l’alibi était tout trouvé pour renouveler l’ordinateur personnel, qui datait, par un autre plus perfomant intégrant les cartes d’acquisitions etc… Il va sans dire que j’ aurais préféré être équipé par le rectorat comme cela a déjà maintes fois été évoqué...).
II. MISE EN ŒUVRE :
Les moyens techniques :
Ayant contacté le CRDP de la Réunion, je constate qu’une structure de création multimédia vient d’être mise en place par le rectorat cette année. Toutefois, les formulaires administratifs sont fastidieux et de toutes façons il n’est pas possible de trouver une possibilité de commencer avant quatre mois. De plus les horaires d’ouverture de CRDP limitent le temps de travail aux seules heures ouvrables, ce qui n’est pas très souple au niveau fonctionnement.
C’est ce qui m’a incité à initier le projet local avec les moyens du bord cités plus haut. Cela a l’avantage de la souplesse et permet de travailler en toute autonomie, à son rythme (y compris la nuit !)Matériel et logiciels:
PC processeur Athlon 1400, 512 MO DDR , 80 Go DD, Carte Studio DV+, Graveur TEAC
Logiciels : ADOBE PREMIERE 6.0, ADOBE PHOTOSHOP 6.0, codec DivX 4.0, POWERPOINT 2000,
Camescope Sony PC3
Remarque souvent entendue :
Si nous achetons le matériel sur nos propres deniers, le rectorat, le
ministère ne sera pas enclin à investir pour encourager la production
de ce type de documents. Et actuellement, il n’y a pas d’outils disponibles,
mutualisés ou dédiés pour ce type de projet qui dépassent
le cadre de l’établissement scolaire.
Suggestions : Il serait urgent d’envisager :
Les personnes :
Le projet est initié par une personne (comme souvent). Mais les premières difficultés surgissent lors des prises de vues : pas de problèmes pour la collecte d’images en situation dans l’établissement scolaire ; mais les interventions du pilote, le personnage prévu pour faire la présentation et qui sert de fil directeur à l’exposé, ne peuvent s’envisager qu’avec une assistance . Il faut donc constituer une équipe.
Une deuxième personne au moins, disponible à souhait est nécessaire, mais difficile à trouver.
C’est à présent chose faite : un collègue de la Réunion, ex-spécialiste vidéo, à la retraite, a accédé à ma demande et accepte de participer à certaines prises de vues. La collaboration reste à plannifier.
La technique :
Initialement, l’idée générale était la création d’un " film " qui permettrait l’utilisation du vidéoprojecteur acheté par l’établissement.
Le média utilisé pourrait être une bande vidéo DV lue par un lecteur DV (en l’occurrence le seul disponible étant la caméra), VHS ou SVHS lue par magnétoscope ou pourquoi pas, un CD rom qui serait lu par un portable.Un des thèmes d’étude au départ a été le passage d’un de ces médias à l’autre, les montages avec banc (que je n’ai pas) ou mieux, virtuel (grâce à l’ordinateur). Les passerelles existant et au cœur de ces passerelles, l’ordinateur et ses possibilités d’encodage et décodages numériques aux différents formats MPEG1 MPEG2 AVI DivX etc… et de génération aussi de médias aux formats analogiques.
L’accumulation de prises de vues diverses et leur stockage est le premier souci rencontré. Puis deux contraintes immédiates supplémentaires :
Le stockage :
A l’usage il apparaît aussi que conserver les données sur le disque dur nécessite un choix de qualité en relation avec le " poids " en octet des fichiers générés. Sauvegarder au format DV en 750 par 525 pixels suppose un DD capable d’enregistrer avec un débit nécessaire de 6000 Ko /s. Cela peut aller jusqu’à un débit de 9000 Ko/s. De bons disques 7200T ou mieux SCSI le permettent. J’ai donc utilisé cette fonctionnalité pour avoir la meilleure qualité possible.
C’est aussi ce qui a crée le problème de restitution que je rencontre pour vous présenter la totalité de ce que j’ai réalisé à ce jour parce que mon portable, qui n’a qu’un DD tournant à 4800 tours est incapable de suivre.
Un autre aspect est le processeur : à l’encodage j’ai utilisé un athlon 1,4 GHz et 512 Mo de mémoire. A la lecture, mon portable ne dispose que d’un Pentium II 300 et ne peut afficher la vidéo dans cette définition.
Il va falloir que j’utilise une méthode d’encodage plus " économique " tout en gardant un qualité acceptable.
La modularisation :
Travailler à un gros projet nécessite de pouvoir créer des étapes intermédiaires, afin de réaliser successivement des parties du tout et de les assembler à la fin.
Pour manipuler des fichiers vidéo moins gros, pour pouvoir modifier l’ordre de séquences, insérer des séquences, retravailler une partie du tout, il apparaît qu’il est nécessaire de :
- Disposer de vidéos très courtes pour les assembler selon les besoins et le rythme souhaité
- Trouver un moyen de ne pas fixer le résultat final
L’outil que j’ai utilisé pour modulariser est Powerpoint de Microsoft qui au départ n’est pas un outil destiné à la vidéo en particulier. Mais il a l’avantage de :
- Permettre un montage par unité dissociées (les diapositives)
- Autoriser le mélange d’images fixes, de son, d’animations prédéfinies, de transitions, de titrages, et surtout de vidéogrammes.
- Créer des scripts sans aucun langage de programmation
- Etre simple d’accès et de maniement, sa prise en main est immédiate
- Lire les vidéos au format compressé si le codec correspondant est installé.
- Permettre d’intégrer un code auto-exécutable au fichier final permettant le déroulement du diaporama sur une machine ne disposant pas de Powerpoint
NB: Il ne permet pas d’utiliser le son au format compressé.
III. PRESENTATION DU DOCUMENT
La partie finalisée (non définitive) est
La partie projetée à réaliser est :